À l’occasion des Jeux Olympiques au Japon du 24 juillet au 9 août prochain, le cinéma Atlantic se met à l’heure japonaise ! Explosion de la culture du manga, japanim en plein essor, des distributeurs de cinéma qui sortent des films inédits en France, des films japonais ou des films qui traitent de l’Histoire du Japon en sélection à Cannes… Bref, le cinéma Atlantic sera tourné cet été vers le Pays du Soleil levant !

LE PROGRAMME SEMAINE PAR SEMAINE >>>>>>>>>>>>>>>>

SEMAINE DU 25 AU 31 AOÛT

VENDREDI 27/08 à 12h, DIMANCHE 29/08 à 21h00, LUNDI 30/08 à 16h05, MARDI 31/08 à 19h >  Le soupir des vagues

VENDREDI 27/08 à 18h30 en avant-première >  Ride your wave

SEMAINE DU 18 AU 24 AOÛT

MERCREDI 18/08 à 21h, JEUDI 19/08 à 18h, VENDREDI 20/08 à 13h, SAMEDI 21/08 à 21h, DIMANCHE 22/08 à 15h45, LUNDI 23/08 à 11h, MARDI 24/08 à 18h >  Drive my car

DIMANCHE 22/08 à 19h15 en avant-première >  Le sommet des dieux

SEMAINE DU 11 AU 17 AOÛT

JEUDI 12/08 à 21h, VENDREDI 13/08 à 18h20, SAMEDI 14/08 à 14h, DIMANCHE 15/08 à 21h >  True mothers
Par la réalisatrice de Les Délices de Tokyo

« Naomi Kawase s’empare, avec une finesse mélodieuse plutôt qu’un brio tape-à-l’œil, du sujet de l’adoption, et livre, avec True Mothers, un superbe film – au montage incroyable, à l’écriture délicate, au rythme entêtant et à la puissance indéniable. » Les Fiches du Cinéma

SEMAINE DU 4 AU 10 AOÛT

JEUDI 05/08 à 21h, VENDREDI 6/08 à 18h, DIMANCHE 8/08 à 21h >  Onoda – 10 000 nuits dans la jungle
Une histoire incroyable pour un film qui ne l’est pas moins d’Arthur Harari

« A travers l’histoire vraie d’un Japonais qui, sur une île philippine, a continué de se battre pendant trente ans après la Seconde Guerre mondiale, Arthur Harari signe le biopic magnifique d’un homme qui ne voulait ni la paix ni mourir. » Libération

MERCREDI 4/08 à 14h30, DIMANCHE 8/08 à 14h15  >  Lupin III : The first
Un grand film d’aventure animé sur le petit-fils du célèbre Arsène Lupin.
Dès 8/10 ans

« C’est drôle, spectaculaire et, comme dans un Pixar, bourré de références pop (…). » Le Point

MARDI 10/08 à 14h15 >  7 jours
Un gros coup de cœur signé Yuuta Murano en VOSTF

Le scénario est adapté du roman éponyme de Osamu Soda de 1985, gros succès au Japon avec une première adaptation en film live en 1988.
« Si vous pensiez encore que le cinéma d’animation se cantonne au divertissement consensuel du jeune public, 7 jours propose un cinéma engagé qui peut appeler chacun à prendre ses responsabilités, sur le thème de “Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde“. » https://littlebiganimation.eu/critique-7-jours-lappel-au-changement

SEMAINE DU 28 JUILLET AU 3 AOÛT

MERCREDI  28/07 à 13h40, VENDREDI 31/07 à 16h10>  Demon slayer, le film : le train de l’infini
Un film d’animation à partir de 10/12 ans en VOSTF

« Les scènes de combat qui s’ensuivent sont spectaculaires. Une prouesse d’animation sur laquelle se reposait déjà le succès de la série. Rythmées par une musique épique et la voix de la chanteuse LiSA, les fabuleuses mises en scène de combat qui ont fait la beauté de son adaptation animée emportent la salle. » Le Monde

JEUDI 29 /07 à 10h30 (Mon premier ciné) >  Mon voisin Totoro
Un chef d’oeuvre deHaya Miyazaki Dès 5 ans

LUNDI  2/08 à 18h40 (De la table au ciné) >  Hospitalité
Un film inédit de Kôji Fukada en VOSTF

« Un huis clos kafkaïen brillamment interprété, corrosif et impitoyable » Le Journal du Dimanche

SEMAINE DU 21 AU 27 JUILLET

DIMANCHE  25/07 à 11h, LUNDI 26/07 à 16h20>  Detective Conan – The Scarlet bullet
Un film d’animation tout public à partir de 18/10 ans en VOSTF

« Les fans de mangas sont servis. À peine ont-ils couru voir Demon Slayer : le train de l’infini, carton des nouveautés de la réouverture des salles, que Détective Conan, manga culte, prend l’affiche. » Dernières Nouvelles d’Alsace

« Enlevé, amusant, pourvu d’un épatant graphisme à l’ancienne, le film va faire la joie des jeunes spectateurs… » Le Parisien

JEUDI 22 /07 à 10h30 (Mon premier ciné) >  Panda, petit panda
Un grand classique de Isao Takahata à partir de 4 ans

« On retrouve les thèmes majeurs et la griffe incomparable de deux grands maîtres de l’animation japonaise, gage d’une poésie incomparable. » Le Figaroscope

SEMAINE DU 14 AU 20 JUILLET

MERCREDI 14/07 À 16H15, VENDREDI 16/07 À 18H55, LUNDI 19/07 À 11H >  Josée, le tigre et le poisson
Un film d’animation tout public à partir de 11 ans en VOSTF

« Porté par une animation où se mélangent l’hyperréalisme et l’onirique surréaliste, son film parle de la société nippone, de ses ostracismes et de son indifférence envers la différence. Brillant.» Le Nouvel Observateur

« En adaptant pour son premier long métrage une nouvelle de Seiko Tanabe, Kotaro Tamura nous offre un bijou de film romantique. » Les fiches du cinéma

MARDI 20/07 À 21H > Le soupir des vagues
Un film de Kôji Fukada en avant-première et en VOSTF (sortie le 4 août)

« Kôji Fukada multiplie ainsi les points de rencontre entre les cultures japonaise et indonésienne, sous-couvert d’influences rohmériennes, de motifs romanesques en tous genres (de Balzac à Mark Twain, le scénario étant directement inspiré de son livre « Le mystérieux étranger »). Il va jusqu’à baigner le tout d’animisme, cette croyance que les éléments ont une âme, pour parfaire l’univers nippon. Laut s’avère de fait être une personnification de la Nature. Comme elle, il peut donner la vie comme la reprendre. Son intention n’est jamais mauvaise, juste aléatoire. Notre quatuor semble comprendre l’enjeu de ce qu’il incarne, la vision d’avenir et d’espoir écologique que l’homme mystérieux est venu porter, avec les vagues. À travers une photographie doucement vaporeuse qui rappelle celle de son sublime Au revoir l’été (2013), le réalisateur prolonge son allégorie de la connaissance de soi à travers celle de l’autre. À contre-courant de son récent thriller psychologique L’Infirmière, c’est désormais du côté de l’enchantement qu’il se tourne, alimentant nos poésies intérieures en toute philosophie et innocence. Le soupir des vagues est un film magique, dont il faut accepter les vertus salvatrices par le prisme de notre sensibilité plus que de notre raison. N’en va-t-il pas de même de l’amour ? » Hanabi